Créer des habitats pour la faune dans votre jardin

Thème choisi : Créer des habitats pour la faune dans votre jardin. Transformez votre parcelle en refuge vivant où oiseaux, pollinisateurs et petits mammifères trouvent nourriture, eau et abri. Partagez vos idées, posez vos questions et abonnez-vous pour suivre nos prochains conseils saisonniers.

Faites trois tournées d’observation, matin, midi et crépuscule, carnet en main. Notez chants, traces, pistes, et plantes spontanées. Cette base vous aide à choisir les bons abris et nourritures. Partagez vos découvertes avec la communauté.
Repérez les zones chaudes, ombragées, humides et les axes empruntés par hérissons, chats ou merles. Un croquis simple suffit pour positionner haies, points d’eau et refuges afin de sécuriser les trajets naturels des animaux.
Un hiver glacial, un rougegorge s’installait sous un tas de feuilles au pied d’un vieux pommier. Après l’ajout d’un point d’eau peu profond et d’un paillage épais, il est revenu chaque année. Racontez-nous vos rencontres marquantes.

Plan d’habitat en strates : du sol à la canopée

Laissez une litière de feuilles, installez quelques pierres plates et un tas de bois aéré. Ces micro-habitats gardent l’humidité, abritent carabes, orvets et tritons, et nourrissent le sol. Publiez vos photos avant/après pour inspirer d’autres lecteurs.

Plan d’habitat en strates : du sol à la canopée

Composez une haie libre d’espèces locales : aubépine, noisetier, prunellier, églantier. Elle offre nectar au printemps, baies en automne et abris épineux sécurisés. Partagez vos combinaisons favorites et vos périodes de floraison régionales.

Bain d’oiseaux à hauteur d’yeux

Une soucoupe lourde, peu profonde, posée sur un piédestal stable attire rougegorges et mésanges. Renouvelez l’eau tous les deux jours, brosse douce à l’appui. Racontez quels oiseaux viennent boire chez vous, et à quelles heures.

Mini-mare sans moustiques

Enterrez une bassine robuste, créez des pentes douces, ajoutez des plantes oxygénantes et libellules viendront. Les moustiques sont régulés par les prédateurs naturels. Décrivez vos plantes aquatiques locales pour enrichir la base collective.

Sécurité d’abord : rampes et zones peu profondes

Prévoyez des galets, une planche rugueuse ou un filet de corde pour permettre la sortie d’un hérisson tombé à l’eau. Évitez les berges lisses. Partagez vos astuces de protection pour chiots, enfants et amphibiens.
Calendrier nectarifère de mars à octobre
Associez pissenlit, pulmonaire et saule au printemps, lavande et origan en été, lierre en fin de saison. Les abeilles sauvages trouvent ainsi un buffet continu. Dites quelles floraisons manquent dans votre voisinage, nous proposerons des alternatives.
Graines et baies pour l’hiver
Laissez monter en graines tournesols et achillées, gardez quelques ombelles sèches. Plantez sorbier, sureau, cotonéaster indigène pour des baies nourrissantes. Partagez vos observations de visites hivernales et vos réussites contre les gelées précoces.
Histoire de jardin : le miracle des chardonnerets
Après avoir laissé un carré de chardons, une lectrice a vu revenir des chardonnerets élégants par groupes. Leur ballet doré a décidé tout le voisinage à semer des plantes sauvages. Racontez vos transformations contagieuses.

Abri et reproduction : nichoirs, hôtels à insectes, cavités

Diamètre d’entrée adapté, planche non traitée, toit étanche et façade orientée est-nord-est. Éloignez-les des mangeoires pour réduire le stress. Publiez vos photos d’installations et dites quelles espèces ont déjà inspecté les lieux.

Abri et reproduction : nichoirs, hôtels à insectes, cavités

Un tas de branchages ventilé et un petit muret de pierres sèches créent des refuges thermiques précieux. Lézards, syrphes et carabes s’y installent. Expliquez comment vous les intégrez esthétiquement à vos massifs sans les camoufler totalement.

Jardinier·e complice : pratiques douces et cohabitation

Remplacez les produits chimiques par le paillage, la rotation des cultures, le compost mûr et la biodiversité utile. Les auxiliaires régulent la plupart des déséquilibres. Écrivez quelles techniques ont fonctionné chez vous et pourquoi.

Jardinier·e complice : pratiques douces et cohabitation

Réduisez les éclairages, installez des détecteurs, utilisez des ampoules ambre. Les papillons de nuit et chauves-souris vous remercieront. Partagez vos mesures d’obscurité et l’impact observé sur les visites nocturnes dans votre jardin.
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